XXXXXXXOn n'en a pas des marches arrières. C'est comme ça. Il faut Xaccepter la mécanique en l'état où vous l'avez trouvée en entrant. Il faut s'y faire enfin. Il Xvocifère sans fin. Cela ne sert à rien. Pesez vos mots, vous connaîtrez la vérité. Les Xblessures sont faites, les cicatrices rejoignent la peau, les cicatrices deviennent de la peau Xpresqu'intacte. Le cycle va de l'avant, indéfiniment. Des marches arrières, on n'en a pas.
XXXXXXXJuste pour le regard. Tournez la tête vers l'arrière, étirez la lumière, la Xtendre depuis le fond de la rétine, jusqu'à ce qu'elle se fonde, qu'elle se liquéfie parmi les Xcristaux des profondeurs de l'œil. Une silhouette aquatique s'éloigne. Elle flotte à l'envers Xparmi le bleu du ciel. S'éloigne pour ne plus être qu'une tâche plus sombre parmi les eaux. XS'étoile parmi les rayons solaires. Ce qui est accompli, le restera. Ne pas fouiller les placards, Xmême du regard.
XXXXXXXOn se force à fixer l'horizon, le prochain pas, l'enjambée se succède Xà elle-même, s'équilibre. Le corps se déploie vers l'avant, plus rien ne le retient, ni chaînes ni Xfantômes. On connait bien la mécanique mise en route, abreuvée du flux et du reflux de l'air, Xcaresse du larynx méritant. Vous pensez parmi la rythmique. Des images vous arrivent Xd'autre part. Alcool, neige, aéroport. Chaque mot est un fragment de la vie de celui qui le Xlit. De celle qui, c'est selon son opinion. Liane déployée dans à peine de lumière. Bougie de Xton regard étincelant sur mes décombres. On se force à fixer l'horizon.
XXXXXXXDes marc h e s a r r i è r e s, o n n'en a pas…
XXXXXXXJuste pour le regard. Tournez la tête vers l'arrière, étirez la lumière, la Xtendre depuis le fond de la rétine, jusqu'à ce qu'elle se fonde, qu'elle se liquéfie parmi les Xcristaux des profondeurs de l'œil. Une silhouette aquatique s'éloigne. Elle flotte à l'envers Xparmi le bleu du ciel. S'éloigne pour ne plus être qu'une tâche plus sombre parmi les eaux. XS'étoile parmi les rayons solaires. Ce qui est accompli, le restera. Ne pas fouiller les placards, Xmême du regard.
XXXXXXXOn se force à fixer l'horizon, le prochain pas, l'enjambée se succède Xà elle-même, s'équilibre. Le corps se déploie vers l'avant, plus rien ne le retient, ni chaînes ni Xfantômes. On connait bien la mécanique mise en route, abreuvée du flux et du reflux de l'air, Xcaresse du larynx méritant. Vous pensez parmi la rythmique. Des images vous arrivent Xd'autre part. Alcool, neige, aéroport. Chaque mot est un fragment de la vie de celui qui le Xlit. De celle qui, c'est selon son opinion. Liane déployée dans à peine de lumière. Bougie de Xton regard étincelant sur mes décombres. On se force à fixer l'horizon.
XXXXXXXDes marc h e s a r r i è r e s, o n n'en a pas…