Les deux prochaines nouvelles à paraître sont de Léa Antony, d'une part et de Sébastien Ponnou d'autre part.
La première, 23 octobre, raconte une journée anodine dans la vie de deux femmes. Ce pourrait être n'importe quel autre jour mais la mise en parallèle de ces deux destins est tout à fait passionnante. Le regard que chacune porte sur le passé puis le présent qui en résulte éclaire différemment, j'espère qu'il en sera ainsi pour le lecteur, la manière dont nous pouvons juger notre propre parcours.
La seconde, Judith suivie de Les pleurs de mes pères, aborde d'une manière fulgurante la notion de paternité. Je trouve ce sujet trop peu abordé jusqu'à présent, alors que s'établit, semble-t-il durablement, une toute neuve masculinité. Ce fut un choc pour moi de le découvrir il y a plus d'un an.
Je me souviens encore de cette émotion particulière qui est celle qu'on éprouve quand on sait qu'on aura la chance d'en être le passeur, l'honneur de le proposer à lire à un et un et un lecteurs [sans parler des lectrices que le sujet, je l'espère, intéressera aussi !].
Les pleurs de mes pères parle avec tout autant de passion de la Palestine. C'est un message à l'égard d'Israël par l'un de ses fervents admirateurs. J'ose espérer qu'il ne sera pas considéré comme un texte de complément à Judith. Les deux sont d'égale importance et résonne ensemble de la même forme d'amour passionné.
Il est temps d'habiller ces textes et le travail avance suffisamment pour pouvoir être montré. Après avoir réfléchi sans trouver, après avoir testé différentes prises de vue, après en avoir jeté une quantité relativement conséquente, nous avons gardé ces quatre possibilités.
Il y a déjà une certaine préférence pour l'une d'entre elles mais je ne voudrais pas vous influencer !
01
02
03
04
A vous de me donner votre avis en commentaires !
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Message aux auteurs impatients :
J'ai reçu énormément de textes entrant dans les possibilités de la maison d'édition.
C'est parce que nous nous efforçons de tout lire, voire relire une seconde fois,
que cela prend du temps pour obtenir un avis. Mais nous donnons toujours un avis
qui s'accompagne parfois d'une proposition de publication
comme les deux nouvelles ci-dessus l'ont reçue il y a plus d'un an !
Message aux auteurs impatients :
J'ai reçu énormément de textes entrant dans les possibilités de la maison d'édition.
C'est parce que nous nous efforçons de tout lire, voire relire une seconde fois,
que cela prend du temps pour obtenir un avis. Mais nous donnons toujours un avis
qui s'accompagne parfois d'une proposition de publication
comme les deux nouvelles ci-dessus l'ont reçue il y a plus d'un an !