Lundi 3 juillet 2006 à 20:32







Je vis dans un monde baigné d'amour
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXL'amour, c'est rose léger…


Je choisis d'écrire dans un parc pour le calme Et pour le banc. Autre option possible : le bar, le café, le troquet du coin. On enlève alors la quiétude pour le foisonnement incessant des allées-venues. Mais surtout, le parc est gratuit ! Dans un café, on me prendrait un peu de l'argent que j'ai, il faudrait que je consomme.

Pour me rendre ici, j'aurais du compter le nombre de situations amoureuses que j'ai croisées. Je ne parle que des affiches.

LE SAVIEZ-VOUS ? Savez-vous pourquoi, dans la publicité, tout le monde vous sourit ?
Parce qu'ils sont payés pour VOUS sourire.

Et aussi tous ces couples-à-petits-gestes sur ma route. Mon œil les voit ! Si j'y pense, ils peuvent être pris chacun comme le symbole unique de ce qui me manque.



Je lui dit :
_je suis disponible à l'amour

En peu de mots, trouver comment résumer les kilomètres de pentes regravies.                                   Sisyphe, tais-toi et pousse !


C'est que je me suis réveillé avec une pensée négative ! Je sais ce que c'est, je sais comment ça marche :
                                        _Ma vie manque un peu de roumaine...


Pour une rencontre de hasard, je tisse un délicat château de langage et voilà que j'y habite. On n'est jamais aussi bien que chez soi.


XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXJ'ai une amie qui n'aime pas XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXle chocolat. J'ai beaucoup XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXde mal à comprendre ça ! XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXComment ça se présente un XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXmonde sans dévorer de XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXchocolat ? Je ne peux pas XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXcomprendre, mais je XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXl'accepte. Tout le monde neX XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXpeut avoir les même goûtsXXX XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXque moi.

Un petit garçon en short rouge, la peau très blanche, les jambes maigres, chaussettes en accordéon, vient de me lancer son ballon sur les pieds. Je le lui rend avec un sourire de douceur. Il repart en tentant de courir aussi vite que le lui permettent ses jambes de coureur débutant.

Je suis envahi de mots ces jours-ci, cela déborde le langage.
J'ai longtemps retenu tout ça. Maintenant, ça se bouscule à l'entrée comme un troupeau d'animaux qu'on libère enfin.

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXElles traversent la place avec le rythme
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXDes algues au bord de l'océan.

Des murs entiers de phrases me TOMBE

J'aimerais bien savoir pourquoi Cowblog a coupé mon article !!!
Je dois tout réécrire !!!
xxxxxxxxxxxxxxxxxx

Par ciel-contre-nuage le Mardi 4 juillet 2006 à 13:50
Ces ont des choses quia rrovent =]
Ou est la private jooooooooke
 

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