Lundi 24 juillet 2006 à 0:37
Je continue de penser que chaque vie se vaut et que chaque vie prend des virages surprenants, tout le temps, à chaque instant. Ce qui m'arrive à moi personnellement (je parle du moi de chacun, hein ? pas de moi-perso !) est unique. Je suis la seule personne de cette planète à avoir connu TOUT ce que j'ai c--o---n----n-----u.
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXEt toutes celles, aussi !
Je sais que ma vie personnelle (bin qu'est ce que ça fait là, ça ? Henri, je l'ai retrouvée !!!) est une suite de virages qui pourrait en surprendre plus d'un. Je sais que j'ai laissé derrière moi des personnes qui pensaient m'aimer à leur manière ("pensaient m'aimer" le doute que ça implique !). Peut-être n'étais-je pas dans cette même manière de les aimer en retour (ce serait comme refuser un match de tennis parce qu'on préfère le vélo, en quelque sorte, voyez ?) peut-être avais-je tout simplement changé (Comme il est terrible, à quarante ans, de voir que, contrairement à ce qu'on aimerait croire, il est presqu'impossible à dix-huit ans d'avoir suffisamment compris (le monde, les autres, les relations que cela suppose, les relations entre les autres, soi dans tout ça), pour être capable d'aimer vraiment comme on aime quand on aime vraiment), peut-être ne me sentais-je pas digne de cet amour, cela arrive parfois, errare humanum est, n'est ce pas ?
On ne se rend pas compte que notre liberté suppose celle DES AUTRES.
D'autres personnes sont restées, d'autres encore sont venues, ou reparties. La vie est un mouvement permanent que rien ne justifie.
XXXXXXXXXXXXXXXXX[RIEN À COMPRENDRE. ACCEPTER LE SPECTACLE !].
Sur le moment, j'ai pu regretter certains départs. Ça passe pas t....o....u....t....s....e....u......................L, c'est un problème de réglage quant à ma sincérité. Mais la vie, plus tard, donne un sens à ce qui est arrivé. Cela s'accompagne généralement d'un fÔrt s e n t i m e n t de bonheur (le service est de plus en plus long ici ? Non ?) Par exemple, quelqu'un apporte une lumière neuve dans votre vie (mais où vais-je mettre cela ? Moi qui n'ai même pas de vase ?), et alors, peu après, dans les secondes qui s u i v e n t, votre cerveau vous fait un plan large, une vue d'ensemble sur le déjà-vécu ! Une seule pensée : Quel bonheur que LIBUJP m'ait quitté !!!
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX[C'est bien, c'est interactif, on peut mettre le prénom qu'on veut !]
Mes meilleur(e)s ami(e)s sont des gens bien. Je les estime parce qu'ils sont capables de me dire quand je me trompe. Quand ils m'envoient de tels signaux d'alerte, je les écoute. Enfin, je devrais !
En ce moment, ma vie est une sorte de carrefour où je me tiens assis (_Ça va pas faire mal, hein docteur ? _Non, non, rassurez-vous, vous avez du courage, vous ne sentirez presque rien) Je regarde comment ça tourne, tout ça.
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX[Oubliez le centre du manège, c'est pas important]
J'observe les gens dans leurs VÉhicuLes.
Le tuning pour se faire exister. La chirurgie esthétique, c'est du tuning pour filles !
Ça pleins-phares, ça klaxonne, ça ronronne, ça zigue-zague, ça carbure, ça rétrograde aussi (mais qui sont les 261 visiteurs d'hier sur sans-queue-ni-tige alors qu'il ne s'y passe rien depuis le lundi 17 juillet 2006 à 06:52 ? Je m'le demande !!! Rien qu'en écrivant ça, je fais changer ses stats !!!), bref, y'a de la vie, ça s'agite. J'absorbe tout ça, j'avale, je me nourris, j'apprends beaucoup, encore et toujours.
[J'ai d'plus en plus peur des filles
Qui me déshabillent
Rien que d'un regard
C'est déjà trop tard
Elles ont tout vu : le gras est là
La faute à l'estomac
Les bourrelets mous j'emballerai pas
J'suis sapé comme un menteur
Elles ont pas le coeur
Y'a plus qu'à se la jouer douce
Je m'retire je m'retrousse
Je retourne dans ma housse
J'suis un Don Juan sentimental
Ephémère et fatal
Je veux la totale
Mais je suis détesté du destin
J'emballe que dalle
J'arrive à rien
J'voudrais être khalife à la place du khalife
Violoniste émigré juif
Un dieu grec un roi du pétrole
Mais chuis pas élu non
Je suis qu'un goy
Passe-moi ton Playboy
Moi j'm'en bats les pouces
Je m'retire je m'retrousse
Je retourne dans ma housse
Tiens, passe moi ton Penthouse
J'ai d'plus en plus peur des filles
Qui me déshabillent
Rien que d'un regard
C'est déjà trop tard
Elles ont tout vu : le gras est là
La faute à l'estomac
Moi j'm'en bats les pouces
Je m'retire je m'retrousse
Je retourne dans ma housse
Passe-moi ton Penthouse
Elles me r'gardent pas
Elles montrent leurs yeux
Elles dansent que pour elles
Elles écoutent que leurs boucles d'oreille
Tant pis c'est pas ma nuit
Mais j'vais essayer d'trouver ça joli
Tiens passe-moi ton Lui
Je m'retire je m'retrousse
Je retourne dans ma housse
Monsieur s'il vous plaît :
Le Monde ! Et Elle.Paroles : Philippe Léotard - Musique : Art Mengo, Jean-Pierre Mader. 1996
Un extrait ICI (radins !!!
[_A un moment, je l'ai trouvé un peu tristounet, j'ai crains le pire !
_Ah ! Et alors ?
_Et bien, il termine par "Et Elle" ! C'est plein d'espoir !
_Ah ! Et c'est bien ça ?]